Jour J – 669 Création d’un Royaume Culturel-Touristique Le Royaume N’SUNDI ;

Création du Royaume Culturel-Touristique Le Royaume N’SUNDI / 2026 Jour “J – 670”.
Pourquoi avons-nous peur de qui nous sommes?
Plus qu’on multiplie les écoles et les universités, plus l’Afrique s’enfonce dans le sous-développement. Non ce sont de véritables camps d’endoctrinement où on essaie de produire des esclaves. De la maternelle au primaire en passant par l’université, ce sont des centres de production de nègres de maison. Pendant que les autres ont créer leurs universités pour questionner et transformer leur environnement, en Afrique on nous apprend à imiter les autres, à réciter ce que les autres font.
 
But de ce carnaval est la création du Royaume Nsundi:
 
Les terres N’Sundi, situées dans la province Nord de l’ancien royaume Kongo sera dotée d’une dizaine de villages pilotes qui serviraient de base d’édification d’un nouveau royaume dans l’espace Kongo: le Royaume de N’Sundi.Pour cela de grandes actions de sensibilisation et d’aménagement du futur territoire royal N’Sundi, sont déjà engagés en Afrique, en Europe et en Amérique.Chaque village aura un espace agricole, l’élevage, la pisciculture, un institut agricole, un centre agri-tourisme, un centre culturel Malaki ma Kongo, un centre de communication qui permet de promouvoir le réseautage entre ces villages pilotes, et les villes, associations et universités qui accepteraient de se jumeler avec les villages pilotes qui formeront le royaume de N’Sundi.
 
L’intéret de la création du Royaume N’Sundi est de:
  1. Revitaliser les relations économiques sociale et ancestrale qui lient les peuples des terres de cette partie du monde;
  2. Renforcer l’agriculture, l’élevage, la culture dans le Royaume de N’Sundi, avec les autres provinces et royaumes qui constituaient la Fédération du Royaume Kongo et accompagner ces memes réalités dans les républiques nées dans nos terres vers la moitié du XXème Siècle;
  3. Réactiver nos traditions, notre culture, l’artisanat et festivals ancestraux pour redonner plus de visibilité à nos villages et développer toutes les énergies étouffées depuis le règne colonial;
  4. Relancer les liens avec le monde Afro descendants qui pense revenir sur la terre de leurs ancêtres, à travers le tourisme, les programmes de retour, ou de réinstallation en Afrique et de jumelage avec les mairies, les villes, les associations et universités; Décolonisation intellectuelle, il y a des mots, des livres, des images et des philosophies qui ne peuvent plus etre enseignés dans nos écoles. Il faut rénover le système scolaire qui date de l’ère coloniale;
  5. Réécrire notre histoire pour revaloriser des figures, des images, et des philosophies dans nos établissements scolaires;
  6. Créer une Banque Ethique Africaine dans tous les villages N’Sundi, car l’ETHIQUE est le maître mot qui sauvera l’Afrique de tous ses maux.
 
Participation au projet Royaume Culturel Touristique N’SUNDI:

 

Les portes sont encore ouvertes. Quand nous aurons 10 villages vont adhérer au système élevage – Agriculture – Psiciculture – Centre de formation, le 10 juillet 2026, alors sera créé le Royaume N’Sundi. Info: tel: +39 377 94 13392 masengomambongolo@gmail.com www.malakimakongo.net

À l’École du BUKONGO
 

Dans les Amériques nos ancêtres ont libéré le monde de l’esclavage, nos écoles sont muettes à ce propos… Et on s’étonne pourquoi sommes-nous mmartyrisés. Au 21ème Siècle prends ton baton de pèlerin “Dire aux petits fils de nos petits fils ce que les parents de nos parents ont vécu” Zunga M’Voala 8 FEV. 1942. Enfin le bout du tunnel… Ce livre vous guidera à la vérité historique, la seule qui soit universelle .

Pour plus d’info:
Tras las Huellas Kongo en las Américas: Haití
https://www.amazon.es/dp/B0D64FXRTW?ref_=pe_93986420_774957520
Sur les traces Kongo dans les Amériques:Haïti
https://www.amazon.it/Sur-traces-Kongo-dans-Am%C3%A9riques/dp/109974993X
In the footsteps of Kongo in the Americas:Haiti
https://www.amazon.sg/footsteps-Kongo-Americas-Haiti/dp/B0D4R7YBKF

 

Vingt six ans de collaboration Afrique – Afro descendants, 15 traversées de l’Océan Atlantique pour produire ce chef d’oeuvre que tous les Noirs devraient lire afin de comprendre que la couleur de leur peau est enviée au point de créer des génocides.

“Sur les traces Kongo dans les Amériques: Haïti” de Masengo ma Mbongolo

Quand les ancêtres veulent faire le point d’une histoire trop controversée, ils choisissent un de leurs descendants, qui est plus ou moins proche de leur logique, pour transmettre leur message. Souvent cela arrive à la fin des ères et s’accompagne d’une série de cas inattendus qui seront l’exception qui va confirmer la règle.

Ce livre “Sur les traces Kongo dans les Amériques: Haïti”, résume mes 25 ans de collaboration avec les Afro-descendants. Tout a débuté en 1994, quand j’ai invité au festival Malaki ma Kongo au Congo, les guadeloupéens d’origine Kongo à la recherche de leurs origines. Ce livre continue à m’émerveiller, il ressemble à un « mystère que je chevauche ». Il a un dynamisme intérieur qui est difficile à expliquer, pour ne pas paraître ridicule, devant ceux qui n’ont pas vécu certaines expériences, hors du commun des mortels. De fois, il arrive qu’un peuple qui a tant souffert cherche un canal d’expression pour nommer son drame. Et souvent il bégaye avant de livrer son message au monde.

Ce texte qui pourrait en être le cas, m’a ouvert les yeux sur certains phénomènes cachés de l’histoire du monde Noir. Il est aussi la somme d’une dizaine de voyages que j’ai effectués entre le Congo, le Vatican en Italie et Haïti. Le spirit Kongo de Haïti a voulu s’exprimer au travers de ce texte… Grâce à un système made in Africa que nous avons créé avec les antennes de Malaki ma Kongo, j’ai sillonné Haïti de Jacmel au Cap en passant par Bois Caïman, Soukri, sans oublier mes séries de voyages dans les villes et villages des pays d’Afrique de l’Ouest via le Temple des Python à Ouidha, les villages du Sud Ouest du Burkina Faso, le Ghana et aussi ceux d’Amérique du Sud, en particulier les antennes de Malaki ma Kongo au Venezuela, à Cuba, en Ecuador, en Guyane, aux Antilles, ect…

Et sans le vouloir, la nature a guidé mes pas; des phénomènes difficiles à expliquer m’ont permis à rencontrer des gens que je n’attendais pas. Le fait de rechercher le Bukongo (la Kongonité), d’approcher les racines de l’histoire de ce peuple et de maîtriser les méandres du commerce triangulaire du 15ème au 19ème siècle, m’ont permis de toucher du doigt les mécanismes des relations Internationales des temps prohibés d’un passé proche. Ces nœuds sont difficiles à dénouer, quand on ne commencent pas les recherches dans les pistes, villes et villages d’où sont partis les esclaves.

Les colons, sont-ils si bêtes au point de créer un système éducatif et universitaire, autodestructeur qui favoriserait l’indépendance spirituelle, intellectuelle et économique de leurs moyens de travail (des descendants des esclaves) et des anciennes colonisés ? Ne rêvons pas, le système éducatif dominant, et ses bibliothèques, n’ont pas été crés pour faciliter les recherches de notre histoire, notre identité. Les chaines de l’esclavage, ont quitté nos pieds et nos mains pour s’incruster dans nos têtes. Chaque intellectuel Noir devrait prendre son bâton de pèlerin.

Et traverser les forêts, les savanes, les montagnes, les fleuves, les océans, d’Afrique et des plantations des Amériques, pour se faire une réelle idée de notre passé. C’est ce défi que s’est lancé Masengo ma Mbongolo, spécialiste des Relations Internationales Culturelles Nord Sud pour le Développement, qui tente d’une part de transformer ses rêves en réalité ; et de l’autre, concrétiser le souhait de son grand père Zunga M’Voala qui, sortant de prison, à l’agonie, a dit à son fils Paul MBongolo, avant de rendre l’âme, de “Dire aux Petits fils de ses petits fils ce que les parents de ses parents ont vécu”. Ces mots, mutés en festival Malaki ma Kongo font la promotion des Racines Culturelles Africaines pour promouvoir le développement responsable des Noirs de l’Est à l’Ouest de l’Atlantique.  Le Prince de N’Sundi Masengo ma Mbongolo  Coordonnateur de Malaki ma Kongo

La toile de fond de Malaki ma Kongo est la Renaissance de la culture d’une Afrique vraie qui s’exprime dans ces termes:

  • la recherche des origines de l’identité culturelle africaine et de sa diaspora
  • révéler les différents maux qu’ils minent l’Afrique
  • réfléchir sur les approches des solutions

L’idée vient du Prince de N’Sundi Masengo ma Mbongolo, qui exerce ces fonctions depuis 1993. La proclamation du Royaume N’Sundi se fera quand terminera la construction du 10ème village en 2026.

Pourquoi avons-nous peur de qui nous sommes?

Plus qu’on multiplie les écoles et les universités, plus l’Afrique s’enfonce dans le sous-développement. Non ce sont de véritables camps d’endoctrinement où on essaie de produire des esclaves. De la maternelle au primaire en passant par l’université, ce sont des centre de production de nègres de maison. Pendant que les autres ont créer leurs universités pour questionner et transformer leur environnement en Afrique on nous apprend à imiter les autres, à réciter ce que les autres font.

C’est pour cela que dans la plu part de nos universités et nos Etats, on estime que vous etes brillants quand vous pouvez reproduire à la lettre ce que les autres ont produit. Meme dans les domaine essentiel comme la philosophie nos referents viennent d’ailleurs. Nous sommes contents de parler de Hobbes, de Emmanuel Kant, Platon, Socrates et autres.

Comment pouvons-nous penser notre modele de société à des gens qui ont démontrer que nous ne méritions meme pas d’etre considéré comme des etres humains.  Il faut soit meme etre esclave pour continuer à subir ce genre d’humiliation. Etre intelligent est-ce de savoir réciter ce que les autres ont écrit? Etes vous très brillant parce que vous connaissez citer les plus grands auteurs du monde? Si nos enseignants qui savent bien de quoi je parle ne vous le disent pas ouvertement pour ne pas perdre leur chaire, il ne revient qu’à vous ETUDIANTS, donc encore libre de tout engagement de choisir entre etre un intellectuel libre ou un esclave?

Pensez-vous que c’est un hasard si dans notre façon de nous vetir, de manger, de penser, nous singeons les autres. Est-on vraiment analphabete ou illetré parce qu’on ne connait pas le français ou l’anglais? On peut etre un parfait ignorant alors que vous maîtrisez ces langues internationales. Et vous pouvez bien etre un savant en Kongo, en peul, en malinke. N’ayant plus peur de qui nous sommes.  Réflexion tirée de la vidéo de Hermann Kana.

This entry was posted in Nouvelles. Bookmark the permalink.