“Sur les traces Kongo dans les Amériques: Haïti”

Voici les versions française, anglaise, et espagnole du livre, personne n’aura l’excuse de l’ignorance… 

Voici les versions française, anglaise, et espagnoles du livre, personne n’aura l’excuse de l’gnorance… 

À l’École du BUKONGO

Dans les Amériques nos ancêtres Kongo ont libéré le monde de l’esclavage, nos écoles sont muettes à ce propos… Et on s’étonne pourquoi sommes-nous martyrisés autant.

Au 21ème Siècle personne n’a l’excuse de l’ignorance.

Tout intellectuel devrait prendre son baton de pèlerin et aller à la recherche de son histoire pour “Dire aux petits fils de ses petits fils ce que les parents de ses parents ont vécu”.  Zunga M’Voala 8 FEV. 1942.

Enfin le bout du tunnel… Ce livre vous guidera vers la vérité historique, la seule qui soit universelle . Pour plus d’info:

  • Tras las Huellas Kongo en las Américas: Haití
  • https://www.amazon.es/dp/B0D64FXRTW
  • Sur les traces Kongo dans les Amériques: Haïti
  • https://www.amazon.it/Sur-traces-Kongo-dans…/dp/109974993X
  • In the footsteps of Kongo in the Americas: Haiti 
  • https://www.amazon.sg/footsteps-Kongo-Americas-Haiti/dp/B0D4R7YBKF
  • https://www.amazon.it/footsteps-Kongo-Americas-Haiti/dp/B0D4R7YBKF/ref=sr_1_1?__mk_it_IT=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=377E0F0NBQCRR&dib=eyJ2IjoiMSJ9.XEar-zxtYIjRcITmA09zng.f8szVqFXMJLdWmoz5xv7N9wO7_8vx_SBF2umROi1Nr4&dib_tag=se&keywords=In+the+footsteps+of+Kongo+in+the+Americas%3A+Haiti&qid=1719458854&s=books&sprefix=in+the+footsteps+of+kongo+in+the+americas+haiti%2Cstripbooks%2C168&sr=1-1

Vingt six ans de collaboration Afrique – Afro descendants, 15 traversées de l’Océan Atlantique et 15 de la Mer Méditerranée pour enfin comprendre la vérité historique du Noir moderne…

Masengo ma Mbongolo prince de N’Sundi

Aux Responsables des Communautés et  de la Culture Afro Descendante

Chers Responsables, l’Afrique vous appelle pour clore une fausse version de l’histoire de notre peuple afin de recommencer à cheminer ensemble, comme font tous les peuples qui ont connu des divergences. Grand est mon plaisir de vous informer de la sortie des versions espagnole et anglaise de mon livre “Sur les traces Kongo dans les Amériques: Haïti”. J’insiste de vous livrer cette information parce que les mots écris dans ce livre m’ont été “dictés” par nos Ancêtres. 26 ans de recherches, quinze traversées de l’Atlantique et de meme pour la Méditerranée pour verifier dans les faits la dictée venue de l’outre monde.

Ce livre est la somme d’une série d’interrogations que je me pose à propos des contres vérités de l’histoire:

  • – L’histoire africaine écrite suivant la logique coloniale pourrait-elle continuée à être enseignée dans nos écoles au 21ème Siècle?
  • – On nous a appris à l’école que nos Ancêtres étaient des gaulois, est-ce vrai?
  • – Les Africains ont-ils vraiment vendu leurs enfants pour des pacotilles? Et que dire de toutes ses scènes douloureuses de cette époque, chantées par les griots des temps passés et de nos jours?
  • – Est-il vrai que le peuple Noirs est maudit?
  • – Le Bénin était une grande plateforme du marché d’esclaves, mais les rois d’Allada vendaient-ils leurs enfants, neveux, frères et cousins? Si non, comment était organisé ce marché, et où allaient-ils trouvés les esclaves?
  • – Pourquoi le phénomène du Vodou haïtien s’est-il limité en Haïti et ne s’est pas perpétré dans les autres pays des Amériques?
  •   46 ans après le décès de Jean Jacques Déssalines il était interdit de prononcer son nom ni de parler de ses oeuvres, quelle genre d’histoire les colons ont-ils créé pour éviter la propagation des idées de Déssalines en milieu jeune?
  • – Je suis allé une quinzaine de fois dans les Caraïbes dont 10 en Haïti, et souvent mes amis disaient “Que vas-tu chercher en Haiti, mais la bas c’est le Bénin, alors que les archives Nationales de Haiti disent que 75% de la population haïtienne est originaire des terres Kongo jusqu’en Afrique du Sud?
  • – L’Etude des histoires des idées nous apprend que quand la France perd une guerre militaire, elle engage une guerre économique, pire une guerre spirituelle; le vodou haïtien n’en serait-il pas un exemple patent?
  • – La conséquence de ces  post coloniales, est que l’Afrique et les ex-colonies peinent de sortir de cette encrage du sous développement. Aurais-je tort de penser que notre spiritualité et notre éducation sont à la base du mal principal qui nuit à l’émancipation de l’Afrique et des Afro descendants?
  • C’est pour toutes ces raisons que nous vous prions de nous aider ensemble avec vos associations culturelles et le monde scolaire, à déconstruire le discours de la colonisation et de l’histoire du monde Noir, à travers des animations culturelles dans votre pays et mieux dans la Sous Région.

Nous attendons de vous des conseils et des orientations afin que nos espérances trouvent un écho favorable dans les milieux culturels et éducatifs de votre pays. Recevez chers responsables nos salutations à l’africaine.

 “Sur les traces Kongo dans les Amériques: Haïti”

Quand les ancêtres veulent faire le point d’une histoire trop controversée, ils choisissent un de leurs descendants, pour transmettre leur message. Souvent cela arrive à la fin des ères et s’accompagne d’une série de cas inattendus qui seront l’exception qui va confirmer la règle. Ce livre “Sur les traces Kongo dans les Amériques: Haïti”, résume mes 25 ans de collaboration avec les Afro-descendants. Tout a débuté en 1994, quand les Kongo de Guadeloupe sont venus au festival Malaki ma Kongo au Congo, à la recherche de leurs origines. Ce livre ressemble à un « mystère que je chevauche ». Il a un dynamisme intérieur qui est difficile à expliquer, pour ne pas paraître ridicule, devant ceux qui n’ont pas vécu certaines expériences, hors du commun des mortels. De fois, il arrive qu’un peuple qui a tant souffert cherche un canal d’expression pour nommer son drame. Et souvent il bégaye avant de livrer son message au monde. Ce texte est la somme d’une quinzaine de voyages que j’ai effectués entre le Congo, l’Italie-Vatican en et Haïti.

Grâce aux antennes de Malaki ma Kongo, j’ai sillonné Haïti de Jacmel au Cap via Bois Caïman, Soukri, le Bénin-Ouidha, le Burkina Faso, le Ghana et aussi le Venezuela, Cuba, Ecuador, Guyane, et les Antilles. Et sans le vouloir, la nature a guidé mes pas; des phénomènes difficiles à expliquer m’ont permis à rencontrer des gens que je n’attendais pas. Le fait de rechercher le Bukongo (la Kongonité), d’approcher les racines de l’histoire de ce peuple et de maîtriser les méandres du commerce triangulaire du 15ème au 19ème siècle, m’ont permis de toucher du doigt les mécanismes des relations Internationales des temps prohibés d’un passé proche. Ces nœuds sont difficiles à dénouer, quand on ne commencent pas les recherches dans les pistes, villes et villages d’où sont partis les esclaves.Les colons, sont-ils si bêtes au point de créer un système éducatif et universitaire, autodestructeur qui favoriserait l’indépendance spirituelle, intellectuelle et économique de leurs moyens de travail: les descendants des esclaves et des colonisés ? Ne rêvons pas, le système éducatif dominant, et ses bibliothèques, ne sont pas disposés de faciliter les recherches de notre histoire, notre identité. Les chaines de l’esclavage, ont quitté nos pieds et nos mains pour s’incruster dans nos têtes. Tout intellectuel Noir devrait prendre son bâton de pèlerin et traverser les forêts, les savanes, les montagnes, les fleuves, les océans, d’Afrique et des plantations des Amériques, pour se faire une réelle idée de notre passé.

Enfin pourriez-vous m’aider de répondre aux questions suivantes:

  • 1-75% de la population haïtienne est originaire des terres Kongo, mais pourquoi seulement le Vodoo?
  • 2-La langue Kongo serait-elle la clef de toute vérité historique d’Haiti?
  • 3-Le fait d’avoir assisté au Bicentenaire de Haiti, et soigné les blessés du tremblement de terre de 2012, suffirait-il de croire que Haiti ne cesséra d’etre cette Afrique en miniature à la dérive sur l’Atlantique, que lorsque la spiritualité béninoise ferait corps avec les autres 53 spiritualités d’Afrique?

C’est ce défi que s’est lancé cet artiste Masengo ma Mbongolo, spécialiste des Relations Internationales Culturelles Nord Sud pour le Développement, qui tente de transformer ses rêves en réalité, d’une part et de l’autre, concrétiser le souhait de son grand père Zunga M’Voala qui, sortant de prison, à l’agonie, a dit à son fils Paul MBongolo, avant de rendre l’âme, de “Dire aux Petits fils de ses petits fils ce que les parents de ses parents ont vécu”. Ces mots, mutés en festival Malaki ma Kongo, font la promotion des Racines Culturelles Africaines pour promouvoir le développement responsable des Noirs de l’Est à l’Ouest de l’Atlantique.

 

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